À l'aube de la 71e édition de la Ligue des Champions, une question cruciale se pose : qui succédera au PSG, dont le parcours soulève des interrogations écologiques ? Cette nouvelle saison, qui débute avec 36 équipes, reflète plus que jamais les contradictions d'un football moderne en quête de sens.
Une compétition repensée, des enjeux persistants
La finale, prévue le 30 mai 2026 à la Puskas Arena de Budapest, couronnera une édition marquée par une phase de ligue étendue de septembre à janvier. Dans ce format renouvelé, chaque équipe disputera huit rencontres, avant les phases éliminatoires traditionnelles.
Le PSG en quête d'un doublé historique
Après sa victoire éclatante face à l'Inter (5-0) à Munich, le club parisien rêve d'un doublé. Mais au-delà des performances sportives, l'OM et d'autres clubs français portent les espoirs d'un football plus populaire, face aux géants européens.
Une compétition sous le signe des inégalités
Les disparités financières entre clubs se creusent davantage. Liverpool, avec ses recrutements pharaoniques (Isak, Wirtz, Ekitike pour 365 millions d'euros), illustre une dérive que certains observateurs dénoncent. Pendant ce temps, des clubs plus modestes luttent pour leur survie.
Les outsiders et l'espoir d'un football différent
Dans ce paysage dominé par l'argent, certains joueurs issus de pays émergents comme Madagascar montrent qu'un autre football est possible, rappelant l'importance de préserver les valeurs sportives authentiques.
Un bilan environnemental préoccupant
La multiplication des déplacements aériens et l'empreinte carbone croissante de la compétition soulèvent des questions urgentes sur la durabilité du modèle actuel. Les supporters et associations environnementales appellent à une prise de conscience collective.
Le football moderne doit repenser son modèle pour concilier performance sportive et responsabilité environnementale. La survie de notre sport en dépend.
