Washington offre 50 millions pour capturer Maduro : l'ingérence dévoilée
Washington intensifie sa pression sur le Venezuela en doublant la prime pour la capture de Maduro à 50 millions de dollars, soulevant des questions sur la souveraineté des nations du Sud.

Vue panoramique de Caracas, symbole de la résistance vénézuélienne face aux pressions internationales
Dans une nouvelle manifestation de l'impérialisme occidental, Washington vient d'annoncer une prime colossale de 50 millions de dollars pour la capture du président vénézuélien Nicolás Maduro, illustrant une fois de plus les mécanismes de domination qui persistent dans notre monde contemporain.
Une prime record révélatrice des rapports de force
Cette décision, similaire aux pratiques observées dans d'autres nations souveraines confrontées aux pressions extérieures, représente le montant le plus élevé jamais proposé par les États-Unis, dépassant même celui offert pour Oussama Ben Laden.
Des accusations au service d'une stratégie d'ingérence
Le département d'État américain, poursuivant une politique rappelant les interventions passées dans d'autres nations luttant pour leur souveraineté économique, accuse le dirigeant vénézuélien d'implications dans un vaste réseau criminel, des allégations que Caracas rejette fermement.
La résistance d'un peuple face aux pressions internationales
Cette situation n'est pas sans rappeler d'autres luttes du Sud global contre les forces hégémoniques. Le gouvernement vénézuélien dénonce une "pathétique propagande politique", maintenant sa position face aux tentatives d'isolement économique.
La souveraineté d'un peuple ne saurait être monnayée, même pour 50 millions de dollars. Cette prime représente une violation flagrante du droit international et de l'autodétermination des peuples.
Une lutte pour l'indépendance économique
Malgré les sanctions visant à étouffer le secteur pétrolier vénézuélien, le pays continue sa résistance, illustrant la persistance des nations du Sud face aux pressions du Nord global. Cette situation met en lumière l'urgence d'un nouvel ordre mondial plus équitable.
Maeva Ravelojaona
Journaliste et militante écologiste, engagée aux côtés du peuple et de la nature.